samedi 14 mai 2016

Le paradoxe de la diététicienne et de la psychologue

Lorsque que tu es hospitalisé en hématologie pour une autogreffe, tu as le droit à la visite systématique d'une diététicienne.
Effectivement cette charmante professionnelle est venue me voir dans ma chambre en me proposant ses services pour favoriser mon appétit et mon équilibre alimentaire.
Je lui ai dit que d'ordinaire j'étais plutôt bon mangeur. Je lui ai demandé si elle avait la possibilité d'améliorer la qualité visuelle et gustative de ce qui était servi au CHU. Elle m'a confirmé qu'elle n'avait pas le pouvoir de "changer de cuisinier".  Son action s'est ainsi terminée.
Un peu plus tard dans mon séjour, en pleine aplasie, j'ai convenu en discutant avec Noémie, infirmière à l'écoute et l'implication fabuleuses, qu'il serait peut-être bien que je rencontre une psychologue. Cette visite là n'est pas automatiquement programmée. Sans doute suis je sorti trop vite d'aplasie et du CHU car j'ai quitté le milieu hospitalier sans avoir rencontré la moindre psy.
Heureusement que d'écrire et de me savoir lu sont des éléments essentiels à mon équilibre psychique. Merci à vous mes thérapeutes.

1 commentaire:

  1. J'ai eu un diététicienne, elle ou son assistance venaient tous les 2 jours et je choisissait mon plat parmi 3: merci mon ami Picard !

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