Face à l'immensité de la souffrance n'avoir que la colère à opposer. La colère face à l'inacceptable de ces vies arrêtées et de la douleur sans limite de ceux qui ont tant aimé et que l'absence détruit.
La colère n'aide pas, elle paralyse. Mais comment trouver les mots impossibles, le mots porteurs d'apaisement? Comment prononcer des mots de vie ?
Taire la colère, être à l'écoute, recevoir et donner ce que l'on peut, pour partager le souffle de la vie.
Oui, trop de départs inattendus.
RépondreSupprimerMa protection naturelle de mon cerveau, c'est que mon myélome à MOI est différent, donc spontanément je ne me sens pas visée par une inquiétude de mort ! Sans doute je suis une enfant dans mon monde idéal, mais je crois à ma longue vie ! NA !
La colère peut se sublimer et se transformer pour devenir le moteur de nos actions...
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