La maladie, la douleur peuvent nous mettre sur le chemin de la colère.
Avoir le sentiment de ne pas être compris ou entendu, se sentir comme un objet que l'on manipule et perdre toute son humanité; sont des raisons qui peuvent nous amener à être sur le registre de la colère et l'agressivité.
Le dialogue devient compliqué. Si de plus le soignant répond sur le même mode, il n'y a plus d'echanges possible.
Avoir le sentiment de ne pas être compris ou entendu, se sentir comme un objet que l'on manipule et perdre toute son humanité; sont des raisons qui peuvent nous amener à être sur le registre de la colère et l'agressivité.
Le dialogue devient compliqué. Si de plus le soignant répond sur le même mode, il n'y a plus d'echanges possible.
Pourtant ce dialogue, entre malade et soignant est essentiel. Le soignant a besoin de connaître ce que vit le malade car les analyses et les examens ne diront pas tout. Ainsi il sera dans les meilleures conditions pour mettre en œuvre ses connaissances, ses compétences nous en faire profiter . Ce dialogue où chacun est à sa place et respecte l'autre, est je pense la meilleure façon pour réaliser un acte thérapeutique avec la plus grande efficience.
La maladie est une histoire personnelle que le malade raconte avec son corps avec ses mots et que le soignant doit savoir écouter pour qu'ensemble ils puissent échanger et avancer.
Chacun fait comme il peut avec ce qu'il est. L'essentiel est que chacun avance vers l'autre.
La maladie est une histoire personnelle que le malade raconte avec son corps avec ses mots et que le soignant doit savoir écouter pour qu'ensemble ils puissent échanger et avancer.
Chacun fait comme il peut avec ce qu'il est. L'essentiel est que chacun avance vers l'autre.
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